Ce 13 novembre, la Commission européenne a lancé une consultation publique pour recueillir les points de vue des citoyens et des organisations sur le Corps européen de Solidarité. Ce programme de l’UE est destiné aux jeunes qui souhaitent s’engager dans des activités de solidarité dans divers domaines allant de l’aide aux personnes défavorisées, à la santé en passant par l’environnement, dans toute l’UE et au-delà. La consultation est accessible dans les 24 langues de l’UE et durera 12 semaines jusqu’au 5 février 2024 à midi.

La consultation publique couvre également l’Initiative des volontaires de l’aide de l’UE, qui est devenue un volet du programme du Corps européen de Solidarité.

Dans le cadre du processus d’évaluation, la consultation publique aidera la Commission à recueillir des informations sur la mise en œuvre et les résultats des nouveautés introduites dans la génération actuelle du programme. Celle-ci donnera également un aperçu de la manière dont progressent les mesures visant à renforcer l’inclusion, la simplification et la valeur ajoutée de l’UE. Elle visera également à recueillir les points de vue des citoyens et parties prenantes sur la résilience, la flexibilité du programme, sa contribution à résoudre des défis sociétaux, ainsi que des suggestions sur le prochain programme, qui débutera en 2028.

Cette consultation publique contribuera à l’évaluation des performances globales du programme du Corps européen de Solidarité et de l’initiative des volontaires de l’aide de l’Union européenne. Celle-ci s’articulera autour de cinq critères : l’efficacité, l’efficience, la pertinence, la cohérence et la valeur ajoutée européenne. Elle contribuera également à l’évaluation à mi-parcours du programme en cours (2021-2027), à l’évaluation finale du programme précédent (2018-2020) et à l’évaluation finale des Volontaires de l’aide de l’Union européenne (2014-2020).

Parallèlement à cette consultation, des données supplémentaires collectées au moyen d’enquêtes, d’entretiens, d’études de cas, d’analyses de données et d’analyses des médias sociaux contribueront également au processus d’évaluation.